I am currently reading a scientific text that analyses the Jewish tradition from the point of view of social psychology; a text which I think has much to say to argumentation scholars about a particular argumentative tradition, and also, more in general, about the relation between argumentation and culture.
Here I only quote a small passage:
“Ensuite, le rejet de l’idolâtrie a eu pour seconde conséquence de dicter au judaïsme une très forte injonction à la pensée, à l’examen critique de toute opinion qui pourrait être basée sur un relent superstitieux, ainsi qu’un refus de sacralisation des textes du Talmud et des décrets humains. La Torah ayant été reçue par Moïse en signe de l’alliance entre Dieu et les hébreux, c’est par le biais de la transmission de ces textes que peut être maintenue et entretenue cette alliance. Ainsi le seul moyen de s’approcher d’une compréhension de la nature de Dieu et de la dimension divine de l’homme et du monde réside-t-il dans l’examen et l’étude approfondis des textes. Dès lors, l’étude et le questionnement s’imposent comme fondements de la tradition“
T. Zittoun, Tradition Juive et constructions de sens : une introduction à la transmission traditionnelle de l’herméneutique juive et a son utilisation contemporaine, Dossiers de psychologie de l’Institut de Psychologie de l’Université de Neuchâtel, n.58, Novembre 2001.
I am grateful to Anne-Nelly Perret Clermont who suggested this reading to the Lugano argumentation group.
Thursday, 16 November 2006
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